Elle m'a dit : "pourquoi sautes-tu sur mes seins,
Chaque fois que tu vois,ma gorge sans soutien ?
Concurrences-tu mon gentil petit gamin!
Tes tétées me procurent un plaisir assez fin,
Accompagnant le lait coulé de mes gradins."
J'ai dit que : ma maman m'a empêchée les siens :
Nourrie au biberon autrefois, je me plains !
Pour moi c'est regrettant : je porte ce besoin.
Maman m'a élevée avec des frustrations ;
Je cherche à lever ce manque à présent ;
Laisse-moi me gaver de son goût maintenant,
Pour pouvoir enrayer ma vile privation !
Chez toi je sens couler l'exquis filet de lait !
Son agrément me plait,et son gré est parfait.
J'ai dûment consommé ceux des bêtes de trait,
Mais c'est inégalé le lait maternel frais !
Ce repas partagé, avec ton beau bébé,
Me rend âgée d'un an, et d'un penchant gourmand !
Le lait chaud qui circule des tétons me gavait,
Giclant entre mes dents, d'un goût ensorcelant.
J'adore ce gros sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir son point, palpitant sous mes touches.
J'essaie le contenir entier entre mes lèvres ;
Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fièvre.
Sucer son élixir, c'est la joie de mon œuvre...
J'aime passer ma main sur son corps en velours,
Et me sentir les brins de gouttes qui parcourent.
Lécher leurs tours fragiles, l'auréole pudique,
Par des suçons futiles,s'éclatant en musique...
Je sais que les hormones, secretées mar mon geste,
Ou celui de l'enfant, accomplissent le reste:
Le plaisir sexuel que tu sens de ce fait
Répand en toi l'orgasme et te réjouit de près.
Et je te vois gémir, me tenant dans tes bras;
Comme c'était l'amour accompli sur tes voies!
Et des mots de plaisir enrouent ta tendre voix,
Enrobée de désirs et d'actes qui me noient
De flots de lait qui giclent ma bouche et mon détroit...!